Si l’employeur a effectivement le droit de rompre la période d’essai de manière discrétionnaire, cette rupture ne doit pas être abusive. Le cadre conserve la possibilité d’agir en justice pour faire constater un "abus de droit" et obtenir le paiement de dommages et intérêts.
Source : Jec-Info n°68 – juillet-août 2014